Voter pour un parti qui nie les changements climatiques?
Le temps n’est-il pas venu d’avoir un député dont le parti a des solutions en matière de changements climatiques? Un député qui appliquera ce qu’on enseigne à nos enfants : l’importance de réduire notre dépendance aux énergies fossiles.
Le Bloc québécois ne fait pas que dénoncer, il propose des solutions. Lutter contre l’obsolescence programmée, faire du Québec la batterie de l’Amérique de Nord, arrêter de subventionner les pétrolières, tout en aidant les provinces de l’Ouest à faire leurs transitions énergétiques.
La mise en place d’une péréquation verte qui serait bénéfique pour le Québec. Présentement, on a l’impression que nos efforts de réduction des gaz à effet de serre servent de compensation afin que les provinces polluantes puissent s’enrichir.
Avec un gouvernement minoritaire, le Bloc a le pouvoir de bloquer les initiatives qui sont néfastes pour l’environnement comme il l’a fait avec l’augmentation des pesticides proposée par les libéraux. Avant d’appuyer un projet, il peut forcer le gouvernement à l’améliorer afin que celui-ci soit respectueux de notre belle planète.
La circonscription Richmond-Arthabaska est un terreau fertile en innovation environnementale. Du berceau du développement durable aux entreprises comme Cascades, Boralex, Domtar, qui font la fierté du Québec en matière d’environnement. Les gens d’ici ont compris que la transition écologique relève de l’urgence et qu’elle est gage de prospérité économique.
Malheureusement, il en est autrement pour le Parti conservateur dont la majorité des députés ne reconnaissent même pas l’existence des changements climatiques. Que dire des libéraux qui parlent d’environnement tout en subventionnant les pétrolières!
Pour Diego Scalzo, « il faut travailler ensemble pour contrer le réchauffement planétaire. Il faut un bon candidat… dans un bon parti ».