Ma voix sur les 8,2 millions que nous sommes au Québec

Je publierai demain le premier texte de la série «Ma voix sur les 8,2 millions que nous sommes au Québec».

Je rappelle à tout le monde que je ne fais pas dans les 280 caractères Twitter. Que je suis de ceux qui n’ont aucune ambition de buzz Facebook et de «viralité» virtuelle. Je ne crois pas à ces mirages de facilité qui cherchent à donner l’impression qu’il n’y a pas de nuances dans la vie. Qu’on le veuille ou non, il n’y a que ça des nuances et de supposer le contraire, c’est d’abord et implicitement s’avouer totalement dépassé.

Si tout était facile dans la vie, nous vivrions toutes et tous dans le confort total. La réalité est que c’est assez compliqué et qu’il faut se donner le mal de suer si l’on veut se bonifier.
Du coup, ces buzz virtuels et ces 280 caractères, tout juste bons à créer l’inflation verbale, les débordements, les jugements erronés et à alimenter les préjugés ont tendance à me décourager.

Ceci dit, ce premier texte, qui sera publié demain, porte sur le projet de société. Je n’en définis aucun (quoique, au fil du texte, il y ait, pour l’exemple, un slogan pas bête).

Je raconte plutôt que les partis peuvent présenter un projet de société, qu’il y a des règles simples pour le faire et que ce n’est pas compliqué pourvu que l’on choisisse de parler intelligemment au monde.

C’est un premier texte. Quels seront les autres? Quand viendront-ils? Je n’en sais rien; c’est un détail. Seule compte ma vision : ne plus garder silence. C’est elle qui me guide au quotidien.

Claude Raymond

Victoriaville