Martin Farcy : de nouvelles accusations en vue

Bref retour devant la justice en matinée, vendredi, pour le Victoriavillois Martin Farcy qui a vu la suite des procédures fixées au 21 novembre.

Mais son avocat Me Jean-Philippe Anctil a appris que de nouvelles plaintes, une dizaine, devraient s’ajouter à son dossier déjà chargé.

L’homme de 41 ans fait face à une quarantaine de chefs d’accusation de vol, d’introduction par effraction, de méfaits, de fraude, de recel, de possession de stupéfiants, de fuite et de bris d’engagement.

Martin Farcy a été arrêté, une première fois, le 29 mars en lien avec une série d’introductions par effraction dans des résidences et des commerces.

Le 29 avril, l’accusé recouvre sa liberté moyennant des conditions, dont celle de demeurer à la maison de thérapie Victoriaville-Arthabaska.

Mais dès le lendemain, le personnel du centre a constaté que l’individu s’était enfui.

Mais dans la nuit du 9 au 10 mai, les policiers ont réussi à l’épingler de nouveau au terme d’une poursuite policière dans le secteur du rang 4 Ouest à Sainte-Élizabeth-de-Warwick.

Un maître-chien avait réussi à localiser le suspect qui tentait de se cacher sous des branches.

Vol qualifié au Big Ben

Un complément de preuve a été fourni, vendredi, dans le dossier de Frédéric Godbout, l’un des accusés en rapport avec le vol qualifié survenu le 27 octobre 2015 au bar Big Ben de Plessisville.

Le jeune homme, sur qui pèsent des accusations de vol qualifié et de complot en vue de commettre un vol qualifié, reviendra devant le Tribunal le 1er décembre pour la suite des procédures.

Coups de feu à Warwick

Dans l’affaire des coups de feu tirés en fin de soirée le 28 février, le dossier du Warwickois Alexandre Chabot a été reporté au 12 décembre.

Son avocat Me Jean-Riel Naud a fait savoir à la Cour, vendredi, qu’il n’y aura pas de procès, que les parties discutaient en vue d’un règlement.

L’accusé de 29 ans fait face à plusieurs accusations, notamment d’avoir déchargé une arme à feu, d’avoir fait usage d’une arme lors de la perpétration d’un acte criminel, à savoir un méfait, et d’avoir utilisé une arme à feu de manière négligente.

Lors de cette soirée de février dernier, des citoyens de Warwick ont alerté la Sûreté du Québec, croyant avoir entendu des coups de feu dans le secteur de la rue Notre-Dame.

Sur place, les agents ont constaté des traces de projectiles sur un véhicule.