Le « Ghost tour » est de retour

Après avoir connu du succès à sa première présentation l’année dernière, le « Ghost tour, Victoriaville et ses histoires de peur », organisé et animé par Nancy Shaink, est de retour le 26 octobre.

Pour les amateurs d’histoires paranormales, d’anecdotes bizarres ou même pour découvrir différents attraits de la ville de Victoriaville, l’activité est tout à fait appropriée et recommandée même. Elle aura lieu le samedi 26 octobre, départ à 13 h 30 du Colisée Desjardins.

Avec ce tour guidé en autobus, les participants auront droit, pendant deux heures, à une visite bien particulière de la municipalité. Nancy a élaboré ce tour à partir de faits vérifiés, mais y inclut également différentes histoires qu’elle a entendues. « Il y a des aspects touristiques, historiques, artistiques, des histoires de fantômes et d’autres plus sordides », annonce-t-elle.

C’est la deuxième fois qu’aura lieu ce tour qui a été testé et approuvé l’année dernière. « Je l’avais fait alors avec un minibus qui s’est rapidement rempli. Cette fois, c’est un autobus entier que j’ai réservé », a-t-elle indiqué en entretien.

L’organisatrice a choisi d’offrir cette sortie un peu macabre en après-midi, question que les participants voient bien les lieux dont il est question. Cela permet aussi à un plus grand nombre de pouvoir s’y inscrire également (il y a plusieurs événements reliés à l’Halloween cette fin de semaine).

Quelques nouveautés ont été ajoutées au tour, mais à partir de la même base d’informations. L’événement semble intéresser plusieurs personnes qui ont déjà réservé une des 46 places disponibles. Il ne faut donc pas tarder à s’inscrire si on souhaite y participer. À noter que le tour s’adresse aux personnes de 16 ans et plus.

Aussi

Outre cette activité, Nancy Shaink indique qu’elle a poursuivi, au cours de l’été, ses visites guidées des cimetières dont la popularité ne semble pas s’essouffler. Celles-ci se sont même intégré dans les Micro-aventures de Tourisme Victoriaville et sa région.

Son exposition du printemps de photographies numériques intitulée « Symboliques patrimoniales », présentée à la Brûlerie Reno, a été, selon ses dires, bien appréciée des clients de l’endroit. Elle a vendu quatre œuvres dont une partie des profits est remise à la Fabrique Sainte-Victoire, partenaire des premiers jours de sa carrière artistique.

Elle est également à compléter son doctorat en théologie pratique qui porte sur ses visites commentées sur l’art funéraire.