Bienvenue Andrée-Anne!

La salle de rédaction des journaux La Nouvelle Union, L’Avenir de l’Érable et du www.lanouvelle.net compte un nouveau visage. Andrée-Anne Fréchette se joint à l’équipe pour couvrir l’actualité générale.

Native de Tingwick, Andrée-Anne a vécu son adolescence à Warwick et elle habite Victoriaville depuis la fin de ses études universitaires après une dernière session à Bruxelles, en Belgique. La jeune femme aime écrire depuis toujours. Pas étonnant, donc, de la voir décrocher un baccalauréat en études françaises à l’Université du Québec à Trois-Rivières, puis une maîtrise en études littéraires à la même institution.

C’est à cette époque qu’elle donne naissance à son premier enfant. Parce que, oui, les valeurs familiales occupent une place importante pour cette fière maman de deux fillettes de 2 et 7 ans qui a aussi touché brièvement à l’enseignement du français au collégial.

Le journalisme, par ailleurs, ne lui est pas inconnu. Elle a embrassé la profession en 2012 au défunt journal L’Écho de Victoriaville. Puis, en 2014, la revue culturelle L’Artis l’accueille dans ses rangs. Elle y a collaboré jusqu’à tout récemment. Son talent d’écriture, elle le met aussi à profit pour certaines artistes. Pour la photographe Annie St-Jean, par exemple, elle a rédigé des poèmes accompagnant les photographies.

Andrée-Anne Fréchette se laisse aussi aller à l’écriture de romans jeunesse et prépare une série pour les 6-10 ans. La nouvelle recrue du journal se réjouit de relever un nouveau défi. «J’aime le journalisme, le fait d’écrire et de publier rapidement. C’est excitant. Les résultats sont immédiats», souligne la jeune femme qui aime l’actualité et se tenir informée.

De ce métier, Andrée-Anne Fréchette dit, par-dessus tout, aimer le côté humain. Elle s’intéresse à tout, à l’histoire, la sociologie, la politique, le monde communautaire aussi puisque ça touche les gens.

«C’est ce qui me relie à l’amour de l’écriture, dit-elle. J’aime le contact avec les gens, j’aime leur parler, les écouter, entendre leurs histoires et bien transmettre leurs messages. Leurs expériences m’inspirent.»

La journaliste aime bien aussi son milieu, sa région. «J’aurais pu me retrouver ailleurs, mais j’ai toujours aimé la région», note-t-elle, tout en se disant comblée par la vie. «J’aime me sentir utile, impliquée dans la communauté et constater qu’on peut faire une différence», conclut-elle.