Linda Dubois met l’Olympia de Paris dans sa poche…
PLESSISVILLE. C’est le 21 septembre dernier que Linda Dubois a foulé les planches de la mythique salle «L’Olympia Bruno Coquatrix» de Paris en assurant sans la moindre «fausse note» la première partie du légendaire groupe anglais «The Rubettes».
Très attendue en France, la Plessisvilloise d’origine fut chaleureusement accueillie par le leader charismatique des Rubettes , Alan Williams, qui lui a fait visiter les coulisses et la scène prestigieuse de ce théâtre mythique où se faufilent aujourd’hui encore les ombres de Brel, Piaf et autres légendes musicales.
C’est devant une salle comble que l’auteure-compositrice-interprète québécoise a conquis et charmé le public parisien, en y présentant un large extrait de son spectacle «That’s Who I Am» qui a récemment triomphé au Petit Medley de Montréal.
Accompagnée par son équipe d’excellents musiciens français, Linda a véritablement conquis le public en l’emmenant dans son univers musical… Tantôt tendre, puis tour à tour lionne avant de transcender un public qui ne demandait qu’à vibrer avant d’accueillir ses idoles anglo-saxonnes, Linda a su trouver avec aisance ce juste milieu qui lui aura permis de recueillir en fin de spectacle une véritable ovation non feinte!
L’aventure européenne de Linda ne fait que commencer, et cette quête du succès et de la reconnaissance de son talent se poursuivra le 31 octobre prochain à Lille pour un deuxième concert en compagnie des Rubettes qui fêtent cette année leurs 40 ans de carrière.
Les portes de la Ville lumière se sont largement ouvertes pour Linda, lui permettant d’emmener dans son sillage des centaines de nouveaux fans conquis par sa générosité et son charisme évident!
Conquérir si rapidement un nouveau public, et de surcroît dans des conditions aussi rapides demandera de l’énergie et beaucoup de travail artistique… C’est le prix à consentir pour durer sur le vieux continent…
Mais gageons que l’équipe qui l’a emmenée outre-Atlantique réussira à préserver cette spontanéité et sincérité musicale qui a séduit ce public parisien réputé si difficile et que les ombres de l’Olympia l’aideront à vagabonder sur les routes de son destin.